L’important, c’est de…

par | Publié le 02.01.2024, mis à jour le 07.11.2024 | Compétition

«

L’important, c’est de participer.

»

On trouve aussi la version plus longue : « L’important n’est pas de gagner mais de participer. »

Il semble bien que Pierre de Coubertin n’ait jamais prononcé l’une ou l’autre phrase. Ses véritables propos, tenus le 24 juillet 19081 à l’occasion d’un discours prononcé en l’honneur des invités des Jeux olympiques, sont les suivants :

Dimanche dernier, lors de la cérémonie organisée à Saint-Paul en l’honneur des athlètes, l’évêque de Pennsylvanie l’a rappelé en termes heureux ; l’important dans ces olympiades, c’est moins d’y gagner que d’y prendre part.

Retenons, messieurs, cette forte parole. Elle s’étend à travers tous les domaines jusqu’à former la base d’une philosophie sereine et saine. L’important dans la vie, ce n’est point le triomphe mais le combat ; l’essentiel, ce n’est pas d’avoir vaincu mais de s’être bien battu2.

Pierre de Coubertin, « Les “trustees” de l’idée olympique », Revue olympique : sports, éducation physique, hygiène, 2e série, no 31, p. 110.

Selon David Charles Young, il fait référence à une course des Jeux de Londres, le 400 mètres hommes du 23 juillet, dont la finale a été recourue parce qu’un Américain avait gêné un Britannique. Les autres Américains ayant boycotté la nouvelle finale par solidarité avec leur compatriote, le Britannique s’est élancé seul et a donc gagné. Coubertin se contente d’évoquer « un incident survenu hier3 ». Comme le reconnaît explicitement Coubertin, son discours est une interprétation d’un prêche d’Ethelbert Talbot, évêque de Pennsylvanie, fait le 19 juillet à la cathédrale Saint-Paul, pour les athlètes et les officiels des Jeux. Le religieux déclare :

The only safety after all lies in the lesson of the real Olympia — that the Games themselves are better than the race and the price. St. Paul tells us how insignificant is the prize. Our prize is not corruptible, but incorruptible, and though only one may wear the laurel wreath, all may share the equal joy of the contest.

 

La seule sécurité, après tout, réside dans la leçon de la véritable Olympie — que les Jeux eux-mêmes valent mieux que la course et le prix. Saint Paul nous dit combien le prix est insignifiant4. Notre prix n’est pas corruptible, mais incorruptible, et, bien qu’un seul puisse porter la couronne de laurier, tous peuvent partager la même joie de la compétition.

Ethelbert Talbot, Discours du 19 juillet 1908 à la cathédrale Saint-Paul, The Guardian of the American Episcopal Church, 22 juillet 1908, p. 1247, cité dans Ture Widlund, « Ethelbert Talbot : His Life and Place in Olympic History », Citius, Altius, Fortius, vol. II, no 2, p. 11 ; notre trad.

Si l’idée est de Talbot, les propos sont bien de Coubertin. Et finalement même l’idée, comme le note Young, peut être attribuée au baron puisque dès 1894 celui-ci assure lors d’une conférence faite à la société Le Parnasse, d’Athènes :

Le déshonneur ne consisterait pas ici à être battu ; il consisterait à ne pas se battre.

Pierre de Coubertin, Le Messager d’Athènes, no 42, p. 306-309, cité dans Pierre de Coubertin, Textes choisis, vol. II (« Olympisme »), p. 3725.

Il tente de convaincre les Grecs qui hésitent à organiser les Jeux de 1896 de peur que leurs athlètes ne perdent. Il se serait inspiré d’une phrase des Métamorphoses, d’Ovide, qui relate le combat pour la main de Déjanire entre Hercule et le fleuve Achéloos6. Ce dernier s’exprime ainsi :

[…] nec tam
Turpe fuit vinci quam contendisse decorum est
Magnaque dat nobis tantus solacia victor.

 

[…] il y eut moins de honte à être vaincu que de gloire à lutter et c’est pour moi une grande consolation que d’avoir trouvé mon vainqueur dans un tel adversaire.

Ovide, Les Métamorphoses, IX, 5-7.

D’après plusieurs sources, Coubertin réitérera ses propos de 1908 à l’occasion des Jeux suivants, et ce dès 1912 :

Qu’on n’oublie pas la parole prononcée par l’évêque de Pennsylvanie à la cérémonie religieuse organisée lors de la IVe Olympiade en l’église de Saint Paul à Londres. L’important, disait en substance l’éminent prélat, ce n’est pas d’être vainqueur aux Jeux, mais c’est d’y prendre part7.

Pierre de Coubertin, cité dans « La critique est aisée… », Revue olympique, no 82, p. 151.

Rien ne prouve cependant qu’il ait dit : « L’important n’est pas de gagner mais de participer. » Alors d’où vient cette formule, qui deviendra si célèbre ?

En 1932, à l’occasion des Jeux de Los Angeles, la phrase du baron est affichée en anglais sur le grand panneau d’affichage lors de la cérémonie d’ouverture.

Official Photo Olympic Games/Sydney Morning Herald, Panneau d’affichage du Los Angeles Memorial Coliseum lors de l’inauguration des Jeux olympiques de 1932, 13 septembre 1932, Alamy banque d’images.

C’est probablement à partir de la version anglaise qu’émerge le slogan moderne, comme en témoigne un article du Figaro rendant compte des Jeux :

Aux côtés de démonstrations un peu ternes, quelquefois décevantes et même désobligeantes — comme celles que nous valut l’athlétisme — nos compatriotes ont réalisé à Los Angeles de très bonnes performances. Ils ont lutté avec cœur pour le triomphe de leurs couleurs et sont en cela en parfait accord avec la maxime qui figure au fronton du stade olympique de Los Angeles, maxime du baron Pierre de Coubertin, rénovateur des jeux.

La chose importante dans les Jeux olympiques n’est pas de vaincre mais de participer. La chose essentielle n’est pas de conquérir un titre, mais de bien se battre.

André Reichel, « Les Jeux de la 10e olympiade ont pris fin », Le Figaro, 15 août 1932, p. 7.

Des variantes apparaissent jusqu’à ce que la formule finale surgisse vers 1950 :

Aussi bien ici comme en bien d’autres compétitions notre figuration n’aura de raison d’être qu’en fonction de la pensée de Coubertin : « L’essentiel n’est pas de gagner… mais de participer. »

Gaston Meyer, « La grande misère du sprint français », L’Équipe, 7 août 1947, p. [4].

« L’important aux Jeux olympiques n’est pas de gagner, mais de participer », a proclamé en substance le baron de Coubertin.

Jean Kroutchtein, « George Brown a déjà franchi 8 m 33 au Japon mais, comme d’habitude, il avait mordu ! », L’Équipe, 12-13 juillet 1952, p. 7.

Si nous revenons en arrière, nous pouvons constater que les mots de Coubertin restent à peu près les mêmes jusqu’à sa mort. Au cours de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Berlin, en 1936 (son engagement lui sera d’ailleurs reproché), il affirme encore, par le biais d’un enregistrement sonore diffusé par haut-parleur :

Important aux Jeux olympiques, ce n’est pas tant d’y gagner que d’y avoir pris part ; car l’essentiel dans la vie, ce n’est pas tant de conquérir que d’avoir bien lutté8.

Pierre de Coubertin, cité dans Ture Widlund, « Ethelbert Talbot : His Life and Place in Olympic History », Citius, Altius, Fortius, vol. II, no 2, p. 13.

Dans l’un de ses derniers textes, publié à titre posthume en tant que préface d’un ouvrage pour la jeunesse, il conclut :

Aux Jeux olympiques, l’important n’est pas d’y gagner, mais d’y prendre part, car l’essentiel dans la vie n’est pas tant de conquérir que de bien lutter.

Pierre de Coubertin, et al., Sports, p. [4].

La formule initiale de Coubertin apparaît elle dans la Charte olympique de 1949. Elle en disparaîtra après 19729. Comme le dit Pierre Lagrue : « Le credo olympique n’a plus guère de sens : aux Jeux, l’important fut rarement de participer, mais bien de gagner, pour sa gloire personnelle ou le prestige de son pays10 » (Le Siècle olympique).

Notes

1. Un mois auparavant, le journaliste sportif et poète Grantland Rice écrivait, de façon étonnamment proche :

« For when the one Great Scorer comes to write against your name,
He marks not that you won or lost — but how you played the Game.
 »

« Car lorsque le Grand Buteur vient inscrire votre nom,
Il note non pas que vous avez gagné ou perdu — mais comment vous avez joué le jeu. »

Grantland Rice, « Alumnus Football », cité dans « Alumni Banquet, Thirteenth Time », The Nashville American, 16 juin 1908, p. 10.

2. L’Anthologie propose une version légèrement différente :

« Dimanche dernier, lors d’une cérémonie qui eut lieu à St Paul en l’honneur des athlètes, l’évêque de Pennsylvanie l’a rappelé en termes heureux ; l’important dans ces concours, c’est moins d’y gagner que d’y prendre part.

» Retenons cette forte parole. Elle s’étend à tous les domaines jusqu’à former la base d’une philosophie sereine et saine. L’important dans la vie, ce n’est point le triomphe mais le combat ; l’essentiel, ce n’est pas d’avoir vaincu mais de s’être bien battu. »

Pierre de Coubertin, « Les “trustees” de l’idée olympique », dans Anthologie, p. 170.

3. Cet incident fait partie de ce que l’on nomme la bataille de Shepherd’s Bush, du nom du quartier londonien abritant le White City Stadium. Cette bataille consiste en fait en une rivalité acharnée (qui tourne à l’animosité) entre les athlètes britanniques et les athlètes américains.

4. Plusieurs auteurs ont fait remarquer que saint Paul disait en fait le contraire, celui-ci prétendant que seule la victoire est belle : « Ne savez-vous pas que, dans les courses du stade, tous courent, mais un seul obtient le prix ? Courez donc de manière à le remporter » (I Cor., ix, 24).

5. Le document original n’est pas consultable actuellement. On trouve le texte entièrement reproduit dans Pierre de Coubertin, Textes choisis, vol. II (« Olympisme »), p. 364-375 et, partiellement, dès 1895 dans « L’athlétisme dans le monde moderne et les Jeux olympiques », Bulletin du Comité international des Jeux olympiques, 2e année, no 3, p. 4.

6. Pour d’autres sources possibles de notre citation, plus récentes, cf. David Charles Young , « On the Source of the Olympic Credo », Olympika [PDF], vol. III, p. 21 et 24, n. 21 et John Bartlett, Familiar Quotations, p. 453.

7. Ce texte apparaît dans la Revue olympique, sans contexte ni signature. Ce sont des ouvrages ultérieurs (Otto Mayer, À travers les anneaux olympiques, p. 69 et Pierre de Coubertin, Textes choisis, vol. II [« Olympisme »], p. 451) qui l’ont attribué à Coubertin au cours des Jeux olympiques de 1912, à Stockholm. Widlund note que personne ne prête attention au renouvellement des dires du baron. « Son allocution n’est pas même reproduite dans le rapport officiel des Jeux olympiques de 1912 » (« L’origine de la maxime olympique », Revue olympique, no 187, p. 295).

Dans Le Siècle olympique, Pierre Lagrue donne une autre version, bien plus proche de notre citation du début : « Le plus important aux jeux Olympiques n’est pas de gagner mais de participer, car l’important dans la vie ce n’est point le triomphe mais le combat ; l’essentiel, ce n’est pas d’avoir vaincu mais de s’être bien battu » Toutefois, l’auteur la donne sans source, avec des nuances (« Il la prononce, semble-t-il »), et reconnaîtra au cours d’un échange de messages qu’elle est apocryphe.

8. Widlund semble avoir eu accès au seul enregistrement sonore de Coubertin prononçant sa fameuse phrase. Il faut noter que les citations écrites de la déclaration de 1936 sont assez différentes, ce qui montre combien les paroles d’une personne sont facilement déformées. Widlund évoque ainsi les propos d’un numéro de la Revue olympique de 1936 : « L’important aux Jeux olympiques n’est pas d’y gagner mais d’y prendre part ; car l’essentiel dans la vie, ce n’est pas tout [sic] de conquérir que de bien lutter. » Nous n’avons pas pu retrouver cette phrase dans la Revue olympique, qui d’ailleurs ne portait pas ce nom en 1936. Cependant, elle figure bien dans le rapport officiel des Jeux de Berlin : « L’important aux Jeux olympiques n’est pas d’y gagner mais d’y prendre part ; car l’essentiel dans la vie n’est pas tant de conquérir que de bien lutter » (Organisationskomitee für die XI. Olympiade Berlin 1936 E. V., The XIth Olympic Games Berlin, 1936, vol. I, p. 560). L’Excelsior, lui, nous propose une version bien différente : « Ce n’est pas tant de conquérir que d’avoir bien lutté ! Ce n’est pas tant de combattre que de le faire avec un esprit chevaleresque ! » (Robert Marchand, « Grandiose spectacle d’ouverture en présence du chancelier Hitler », Excelsior, 2 août 1936, p. 6).

9. Si bien qu’en 1983 Widlund écrit : « La maxime olympique fait simplement partie de la tradition. Aucune mention n’en est faite dans la “Charte olympique”. N’est-il pas grand temps de remédier à cela et d’en faire officiellement la devise du Mouvement olympique en l’insérant dans la Charte ? » (« L’origine de la maxime olympique », Revue olympique, no 187, p. 295).

10. Pour autant, Coubertin loue la recherche du record :

« […] l’idée de supprimer l’excès est une utopie de non-sportifs. […] C’est ainsi que le record se tient au sommet de l’édifice sportif comme cet “axiome éternel” dont parlait Taine à propos de la loi de Newton. N’espérez pas l’abattre sans tout détruire. Résignez-vous donc, vous tous, adeptes de l’utopie contre nature de la modération à nous voir continuer de mettre en pratique la devise donnée par le père Didon jadis à ses élèves et devenue celle de l’Olympisme.

» CITIUS, ALTIUS, FORTIUS. »

Pierre de Coubertin, Mémoires olympiques, p. 217-218.

Et considère les athlètes comme une élite :

« La seconde caractéristique de l’olympisme, c’est le fait d’être une aristocratie, une élite ; mais, bien entendu, une aristocratie d’origine totalement égalitaire puisqu’elle n’est déterminée que par la supériorité corporelle de l’individu et par ses possibilités musculaires multipliées jusqu’à un certain degré par sa volonté d’entraînement. Tous les jeunes hommes ne sont pas désignés pour devenir des athlètes. »

Pierre de Coubertin, Les Assises philosophiques de l’olympisme moderne, p. [1].

Sources

  • « Alumni Banquet, Thirteenth Time », The Nashville American, 16 juin 1908, p. 10.
  • « athlétisme dans le monde moderne et les Jeux olympiques (L’) », Bulletin du Comité international des Jeux olympiques, janvier 1895, 2e année, no 3, p. 4.
  • Bartlett (John), Familiar Quotations : A Collection of Passages, Phrases, and Proverbs Traced to Their Sources in Ancient and Modern Literature, éd. Geoffrey O’Brien, 18e éd., New York (N. Y.)/Boston (Mass.)/Londres, Little, Brown and Company, cop. 1992.
  • Bible de Jérusalem (La), trad. sous la dir. de l’École biblique de Jérusalem, nouvelle éd. revue et corrigée, [Paris], Pocket (coll. « Pocket »), DL 1998.
  • Comité international olympique, Le Comité international olympique et les Jeux olympiques modernes, s. l. n. n., 1949.
  • Comité international olympique, Statuts et règles olympiques, Lausanne, Comité international olympique, 1972.
  • « Contradiction ! », Athlétisme : revue officielle de la Fédération française d’athlétisme, novembre 1983, no 263, p. 62.
  • Coubertin (Pierre de), « Les “trustees” de l’idée olympique », Revue olympique : sports, éducation physique, hygiène, juillet 1908, 2e série, no 31, p. 108-110.
  • Coubertin (Pierre de), Mémoires olympiques, Lausanne, Bureau international de pédagogie sportive, cop. 1931.
  • Coubertin (Pierre de), Anthologie, Aix-en-Provence, Paul Roubaud, 1933, p. 169-171.
  • Coubertin (Pierre de), Les Assises philosophiques de l’olympisme moderne : message radiodiffusé de Berlin le 4 août 1935, Genève, Le Sport suisse, [1935].
  • Coubertin (Pierre de), et al., Sports : une petite encyclopédie des sports à l’usage de tous, vol. I, Vevey, Édition des chocolats Nestlé, Peter, Cailler, Kohler, cop. 1938.
  • Coubertin (Pierre de), Textes choisis, éd. Georges Rioux, Norbert Müller et Otto Schantz, 3 vol., Zurich/Hildesheim/New York (N. Y.), Weidmann, 1986.
  • « critique est aisée… (La) », Revue olympique, octobre 1912, 2e série, no 82, p. 147-151.
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  • Hansenne (Marcel), « Vodka et Coca-Cola », L’Équipe, 23 février 1952, p. 8.
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